- Prétendre à des traitements non reconnus ou non prodigués dans un établissement donné.
- Choisir un établissement public particulier, dans le cas d’une éventuelle hospitalisation.
- Exiger de rester à domicile en toutes circonstances.
- Demander l’assistance au suicide [Code pénal, art. 115].
- Réclamer l’euthanasie [Code pénal, art. 114].
- Disposer de vos biens (ce n’est pas un testament).
En cas de doute sur l’existence de directives anticipées et en situation d’urgence vitale (par exemple lors d’un accident sur la voie publique), le premier geste des équipes médico-soignantes sera de préserver votre vie. Dans ces circonstances particulières et face à une personne inconnue, elles n’ont pas toujours immédiatement accès à vos directives anticipées.